L’alternance, une voie pour les « mauvais » élèves
L’alternance est globalement encore considérée par les parents (qui ont entre 40 et 50 ans) comme une formation de terrain plutôt manuelle et peu valorisante.
C’est tout l’opposé, puisque le jeune apprend son métier de manière concrète, en ayant un pied dans le monde de l’entreprise. Il se forme par ailleurs directement avec des professionnels. La théorie laisse le trône à la pratique, sans pour autant le remplacer puisque le rythme scolaire est alterné, ce qui permet d’établir de vraies compétences d’organisation et de gestion du temps.
Les études artistiques ne mènent à rien
Les élèves qui souhaitent travailler dans le monde artistique sont parfois confrontés à leurs parents réticents, craignant un futur chômage.
Aujourd’hui, de nouveaux corps de métiers se créent dans l’art, qui représente une véritable industrie. De nombreuses startups recherchent des graphistes afin de pérenniser leur image ; le marché de l’art voit de plus en plus d’oeuvres alternatives en son sein et a besoin de commerciaux et galeristes pour se développer (le treet art par exemple) ; de nombreux groupes de musiques requièrent un ingénieur du son ; etc.
Médecine : malgré la difficulté, il suffit de beaucoup travailler en PACES
Si la plupart des aspirant médecins savent que l’intensité du travail est élevée en PACES (première année commune des études de santé), beaucoup ne mettent réellement la main à la pâte qu’après le Bac, dès le début de l’année du concours.
Grosse erreur : il faut se préparer dès la première S, voire même la seconde. Sans se mettre trop de pression, il faut acquérir au plus tôt la bonne méthodologie de travail afin de mettre toutes les chances de son côté lors du concours. Il faut également une motivation sans faille pour se lancer en PACES, cette voie ne peut être considérée par « défaut ».